Occurences de l'expression
est
pour LES CINQ AUTEURS
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LA COMÉDIE DES THUILERIES (1638)
- C'est du plus grand des Rois le superbe séjour, v.3 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- C'est ici que la gloire établit son Empire, v.5 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- C'est avecque plaisir que le Ciel vous éclaire, v.13 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Vous voir, vous posséder est mon bien le plus doux, v.23 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- N'est-ce pas vivre heureux, que de vivre chez vous ? v.24 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- C'est un plaisir de voir la Nymphe de ces eaux, v.31 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- C'est un plaisir de voir l'ombre de ces feuillages, v.37 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- J'ose bien assurer que c'est son lieu natal. v.44 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Est l'innocent conduit où cette belle eau passe ; v.54 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- C'est là qu'on oit souvent, et des Luths, et des voix, v.63 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Dont le vol est borné d'une riche clôture, v.130 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Soutiennent qu'il n'est point d'agréable prison. v.132 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Est, comme le plaisir, la fin des Animaux. v.140 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Déshonnêtes objets, dont la vue est blessée, v.153 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- J'ai voulu visiter les restes de ces lieux ; v.168 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Que des plus doux parfums Amour est le vrai maître. v.174 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Tout ce qui m'a déplu, c'est que portant la main v.175 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Son éclat s'est terni, sa force évanouie : v.178 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Ne peut être estimé, s'il n'est inaccessible. v.182 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Que depuis que l'Amour s'est rendu notre Maître v.202 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Dessus les raretés, dont leur grâce est pourvue, v.210 (Acte 1, scène 1, VOIX DU MONOLOGUE)
- Quel dessein est si juste, et si bien concerté, v.219 (Acte 2, scène 1, AGLANTE)
- La flamme du matin, le soir n'est plus que cendre ; v.229 (Acte 2, scène 1, AGLANTE)
- Quoi, je vous trouve ici ? Quelle est mon aventure ; v.241 (Acte 2, scène 2, ASPHALTE)
- Et que l'Amour, Aglante, est un prompt Artisan ! v.244 (Acte 2, scène 2, ASPHALTE)
- Aglante ce matin, est autre que lui-même. v.250 (Acte 2, scène 2, ASPHALTE)
- Et depuis le Soleil à peine s'est levé, v.252 (Acte 2, scène 2, ASPHALTE)
- De charmes infinis Cléonice est pourvue ; v.261 (Acte 2, scène 2, ASPHALTE)
- Fait naître mon malheur, et c'est mon malheur même : v.266 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- De quelque objet nouveau votre âme est-elle éprise ? v.270 (Acte 2, scène 2, ASPHALTE)
- Elle m'est trop connue, il faut que je t'avoue, v.273 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Mais apprends depuis quand, et quel est mon Amour. v.280 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Dans un Temple prochain, vers le Ciel s'est dressée ; v.286 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Au point qu'elle est entrée, qu'un changement extrême, v.297 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Une extrême froideur s'est glissée en mes veines ; v.306 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Ma froideur s'est changée en un feu dévorant v.308 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- On m'appelle Philène, et Mégate est le Nom, v.323 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Cet Énigme est obscur, je ne le puis entendre. v.325 (Acte 2, scène 2, ASPHALTE)
- Que Philène est un Nom, qui marque mes transports ! v.336 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Et pour quelle beauté, mon Oncle me destine, v.341 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Dieux ! Qu'est-ce que j'entends ? v.345 (Acte 2, scène 2, ASPHALTE)
- Il reste de te dire, v.345 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Au reste, si j'entends ce langage muet, v.351 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Et si la vive ardeur, dont mon âme est pressée, v.353 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Certains traits de ses yeux, à qui la modestie v.357 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Que c'est un doux plaisir à l'esprit d'un Amant, v.367 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Tâcher à différer, la Loi qui m'est prescrite : v.382 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Est pour me reconnaître, et pour me délasser. v.388 (Acte 2, scène 2, AGLANTE)
- Si mon effort est vain, v.391 (Acte 2, scène 2, ASPHALTE)
- Ô qu'Aglante est heureux, en son amour naissante ! v.394 (Acte 2, scène 3, ASPHALTE)
- Si c'est de cet Objet qu'il est adorateur, v.395 (Acte 2, scène 3, ASPHALTE)
- Et si de ces transports ce bel oeil est auteur. v.396 (Acte 2, scène 3, ASPHALTE)
- Si ce n'est sans plaisir, au moins sans vanité : v.404 (Acte 2, scène 4, CLÉONICE)
- Quel est ce déplaisir ? Un ennui partagé v.419 (Acte 2, scène 4, CLÉONICE)
- À quelqu'un qui nous plaint, est beaucoup soulagé. v.420 (Acte 2, scène 4, CL?ONICE)
- N'est pas un entretien digne de votre oreille : v.422 (Acte 2, scène 4, AGLANTE)
- Qui doit le plus se plaindre, et qui m'est le plus cher, v.431 (Acte 2, scène 4, AGLANTE)
- Mais son malheur est tel, qu'il vous pourrait toucher : v.432 (Acte 2, scène 4, AGLANTE)
- Et c'est trop vous presser. v.435 (Acte 2, scène 4, CLÉONICE)
- Ce jaloux Dieu des coeurs, s'est bien fait reconnaître : v.446 (Acte 2, scène 4, AGLANTE)
- Il s'est senti par eux arraché sa franchise : v.462 (Acte 2, scène 4, AGLANTE)
- Et cette Passion est telle en sa naissance, v.466 (Acte 2, scène 4, AGLANTE)
- Elle aime un inconnu, telle est son aventure ; v.481 (Acte 2, scène 4, CLÉONICE)
- Et vous pouvez juger combien elle m'est dure ; v.482 (Acte 2, scène 4, CL?ONICE)
- Quel est ce Cavalier, si charmant à ma vue ; v.490 (Acte 2, scène 5, ORPHISE)
- Sans m'avoir jamais vue, il m'est venu parler, v.495 (Acte 2, scène 5, CLÉONICE)
- Puisque de ces Amants l'accident est pareil. v.511 (Acte 2, scène 6, AGLANTE)
- De quel heureux avis à la fin s'est servie, v.513 (Acte 2, scène 6, AGLANTE)
- Celle qui vous est chère autant que votre vie ? v.514 (Acte 2, scène 6, AGLANTE)
- Il nous est bien séant de prendre avis des hommes ; v.518 (Acte 2, scène 6, CLÉONICE)
- Ha ! Que n'est mon pouvoir égal à mon désir ! v.523 (Acte 2, scène 6, AGLANTE)
- S'ils ne m'ont point flattée, ont estimé ma voix. v.532 (Acte 2, scène 6, CLÉONICE)
- Un homme vous est cher à l'égal de vous-même, v.541 (Acte 2, scène 6, AGLANTE)
- C'est ce qu'il me prédit, et pour notre repos, v.547 (Acte 2, scène 6, AGLANTE)
- C'est pour les malheureux, qu'il fait plus de merveilles, v.554 (Acte 2, scène 6, AGLANTE)
- Celle qu'on méprisait, est parfois réussie. v.558 (Acte 2, scène 6, AGLANTE)
- Je ne tarderai point, c'est fort près de ce lieu ; v.571 (Acte 2, scène 6, CLÉONICE)
- Le trouble où je me vois, n'est-il pas déplorable ? v.574 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- Et ce qui plus m'étonne, est qu'en moins d'un moment, v.579 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Vous changez, il est vrai ; mais tout le monde change : v.582 (Acte 3, scène 1, MELINDE)
- Pour Philène aujourd'hui, votre amour est ardente. v.586 (Acte 3, scène 1, MELINDE)
- C'est ne haïr personne, et c'est toujours aimer. v.588 (Acte 3, scène 1, MELINDE)
- Peut-être que Philène est plus blessé que vous. v.592 (Acte 3, scène 1, MELINDE)
- Car c'est presque tout un, que trahir, et flatter ; v.600 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- Chacun a son Amant, et le vôtre est Philène : v.606 (Acte 3, scène 1, MELINDE)
- Mais qu'est-ce qui vous rend l'esprit tant agité ? v.607 (Acte 3, scène 1, MELINDE)
- Qui n'est plus rien pour moi, qu'un Enfer de supplices ; v.614 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- À quoi tend ce dessein ? Qu'est-ce qu'il en espère ? v.625 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Consulter un Écho, n'est pas chose ordinaire ; v.626 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Voudrait-il me charmer ? Est-il Magicien ? v.627 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Ha ! Mon soupçon est faux, son port, sa bonne mine, v.637 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Il n'est pas moins confus, en s'approchant de vous ; v.655 (Acte 3, scène 1, MELINDE)
- C'est venir un peu tard, accomplir sa promesse. v.657 (Acte 3, scène 2, MEGATE)
- Vous étiez avec moi ! C'est chose peu croyable, v.661 (Acte 3, scène 2, MEGATE)
- L'excuse est obligeante, et non pas véritable : v.662 (Acte 3, scène 2, MEGATE)
- Il feint d'être amoureux, c'est un causeur de Cour, v.667 (Acte 3, scène 2, MEGATE)
- C'est moi-même. v.687 (Acte 3, scène 2, PHILENE)
- Il est beau ; v.687 (Acte 3, scène 2, MEGATE)
- Mais sa feinte, peut-être, est pareille à la vôtre ; v.697 (Acte 3, scène 2, MELINDE)
- Et je l'estimerai le plus grand des Oracles. v.726 (Acte 3, scène 2, MEGATE)
- C'est toi. v.730 (Acte 3, scène 2, ÉCHO)
- C'est moi ! v.730 (Acte 3, scène 2, MEGATE)
- C'est à vous deux qu'il parle, il le dit clairement : v.734 (Acte 3, scène 2, MEGATE)
- Mais vous importe-t-il de savoir quel il est ? v.741 (Acte 3, scène 2, PHILENE)
- Ainsi ce jeune Amant, est un autre moi-même, v.755 (Acte 3, scène 2, PHILENE)
- Qu'elle est également, et prudente, et fidèle. v.784 (Acte 3, scène 2, PHILENE)
- Qu'est-ce que dit ma Mère ? Hé bien, en mourrons-nous ? v.785 (Acte 3, scène 3, MEGATE)
- Votre esprit est troublé d'une crainte bien vaine : v.787 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- De votre éloignement elle n'est point en peine ; v.788 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Puisque rien n'est plus grand que ma Fidélité ; v.802 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Quel est votre secret ? v.803 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- C'est le vôtre. v.809 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- La réponse est obscure, et je n'y comprends rien. v.810 (Acte 3, scène 3, PHILENE)
- Est plus grand que le corps, qui le tient enfermé. v.814 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Et de quel corps encore est ce Coeur invincible ? v.815 (Acte 3, scène 3, PHILENE)
- Ô Dieux ! Est-il possible ? v.816 (Acte 3, scène 3, PHILENE)
- C'est pour vous ; v.821 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- À l'Écho, qui n'est rien qu'un air frappé du vent ; v.830 (Acte 3, scène 3, MEGATE)
- Dont la voix est reçue, et soudain rejetée. v.832 (Acte 3, scène 3, MEGATE)
- À nous redire au vrai quel est notre secret ; v.838 (Acte 3, scène 3, MEGATE)
- Mon vouloir est le vôtre. v.850 (Acte 3, scène 3, PHILENE)
- Et le vôtre est le mien. v.850 (Acte 3, scène 3, MEGATE)
- Qu'il est aisé de voir que ces deux belles âmes, v.851 (Acte 3, scène 3, MELINDE)
- Mais ce pauvre Amoureux est bien loin de son compte, v.871 (Acte 3, scène 4, ASPHALTE)
- Si ce n'est seulement, s'absenter, ou mourir. v.874 (Acte 3, scène 4, ASPHALTE)
- Et quels sont les Destins, qui nos âmes assemblent ? v.891 (Acte 3, scène 5, PHILENE)
- De tout point sa pensée à la mienne est pareille ; v.895 (Acte 3, scène 5, MEGATE)
- C'est vouloir qu'à même heure, il soit et nuit, et jour, v.910 (Acte 3, scène 5, PHILENE)
- Est-il commandement qui soit plus agréable ? v.928 (Acte 3, scène 5, PHILENE)
- Et je veux publier, que la mienne est si belle, v.943 (Acte 3, scène 5, PHILENE)
- Qu'elle est à désirer, quoiqu'elle soit mortelle. v.944 (Acte 3, scène 5, PHILENE)
- Le Ciel m'en est témoin, sans jamais rien aimer : v.946 (Acte 3, scène 5, MEGATE)
- De tant d'objets si beaux, dont la Cour est féconde, v.947 (Acte 3, scène 5, MEGATE)
- N'est-ce pas la raison, qu'au moins j'ouvre la bouche, v.951 (Acte 3, scène 5, MEGATE)
- Disposez de mon coeur, Philène, il est à vous, v.961 (Acte 3, scène 5, MEGATE)
- Plus que les autres feux, est rempli de fumée ; v.964 (Acte 3, scène 5, PHILENE)
- Est-il vrai que l'Amour, qui fait assez connaître, v.971 (Acte 3, scène 5, PHILENE)
- Ne blâmez point celui dont je fais tant d'estime, v.979 (Acte 3, scène 5, MEGATE)
- Et plutôt qu'achever mon funeste Hyménée, v.991 (Acte 3, scène 5, PHILENE)
- De cent coups de poignard, finir ma destinée. v.992 (Acte 3, scène 5, PHILENE)
- Est de vouloir aussi me conserver la vie, v.1008 (Acte 3, scène 5, MEGATE)
- Pour gagner votre mère, il n'est invention, v.1013 (Acte 3, scène 5, ORPHISE)
- Tout est perdu, Mégate, il faudra, malgré vous, v.1017 (Acte 3, scène 5, ORPHISE)
- C'est doncques dans ces lieux qu'Aglante se promène, v.1029 (Acte 4, scène 1, ARBAZE)
- Tout est prêt chez sa Mère, et l'on attend que toi, v.1051 (Acte 4, scène 1, ARBAZE)
- M'est un signe bien clair d'un esprit mutiné ; v.1060 (Acte 4, scène 1, ARBAZE)
- C'est bien mettre au hasard, mon repos, et mon heur, v.1080 (Acte 4, scène 2, AGLANTE)
- L'Hymen n'est pas un noeud, qui se rompe en un jour, v.1087 (Acte 4, scène 2, AGLANTE)
- C'est un lien sacré, mais un lien d'amour ; v.1088 (Acte 4, scène 2, AGLANTE)
- Et qu'est-ce que l'Amour, qu'une secrète flamme, v.1089 (Acte 4, scène 2, AGLANTE)
- Est-ce avoir du respect pour leurs sacrés mystères ? v.1098 (Acte 4, scène 2, AGLANTE)
- Et n'est-ce pas assez, pour attirer sur vous v.1099 (Acte 4, scène 2, AGLANTE)
- Ô l'excellent prétexte ! Qu'il est merveilleux ! v.1103 (Acte 4, scène 2, ARBAZE)
- C'est ne les craindre pas, qu'abuser de leur crainte : v.1106 (Acte 4, scène 2, ARBAZE)
- Vous savez que mon coeur, est à vous tout entier, v.1115 (Acte 4, scène 2, ARBAZE)
- Elle est sage, elle est riche. v.1129 (Acte 4, scène 2, ARBAZE)
- Elle est inestimable : v.1129 (Acte 4, scène 2, AGLANTE)
- Mais puisque mon Destin, du vôtre inséparable ; v.1141 (Acte 4, scène 2, AGLANTE)
- C'est un soin, que lui doit votre civilité : v.1148 (Acte 4, scène 2, ARBAZE)
- Puisque tout vieux qu'il est, il a de quoi vous plaire. v.1158 (Acte 4, scène 3, AGLANTE)
- C'est un nouveau sujet de lui vouloir du bien. v.1164 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Dans le secret désordre, où mon âme est réduite, v.1169 (Acte 4, scène 3, AGLANTE)
- Mon humeur est sans grâce, et mes propos sans suite ; v.1170 (Acte 4, scène 3, AGLANTE)
- Mon naturel est vain, je me flatte moi-même : v.1173 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Je vous estimerais envieux de ma gloire, v.1186 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Sitôt qu'on est blessé, j'aime à voir qu'on se rende, v.1190 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Le silence en Amour est un lâche remède, v.1194 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Ne craignez rien, ma soeur, elle s'est mécomptée, v.1200 (Acte 4, scène 4, ORPHISE)
- Ce n'est pas un butin qu'on enlève aisément ; v.1202 (Acte 4, scène 4, ORPHISE)
- Ne me demandez point, ce qui n'est plus à moi : v.1210 (Acte 4, scène 4, AGLANTE)
- La Gloire est à forcer, et non pas à surprendre ? v.1220 (Acte 4, scène 4, AGLANTE)
- Il est vrai, je vous aime autant que vous m'aimez v.1225 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Plus un effet est prompt, plus sa cause est puissante. v.1228 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Mon amour est ravi d'une telle retraite. v.1239 (Acte 4, scène 4, CLÉONICE)
- Et depuis quand la mode en est-elle venue ? v.1244 (Acte 4, scène 5, ORPHISE)
- J'en puis rechercher un, quand mon âme est touchée : v.1248 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Un coeur se défend mal, quand il est sitôt pris ; v.1250 (Acte 4, scène 5, ORPHISE)
- Orphise, quelle humeur est la vôtre aujourd'hui, v.1253 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- C'est là de leurs désirs et le but et la source : v.1260 (Acte 4, scène 5, ORPHISE)
- Les prières en main, la modestie aux yeux : v.1262 (Acte 4, scène 5, ORPHISE)
- Il n'est trait de pudeur, qu'elles ne contrefassent ; v.1263 (Acte 4, scène 5, ORPHISE)
- Ne vous est échappé, qu'à faute d'une mouche, v.1268 (Acte 4, scène 5, ORPHISE)
- Ma vie est innocente, et ma beauté naïve v.1275 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Est-ce honte d'aller par ces Métamorphoses v.1283 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- C'est gloire de mourir pour ce Maître des Dieux, v.1289 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Si pour lui, se défaire est un vrai Sacrifice, v.1291 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- L'Amour seul, de l'Amour est le prix véritable ; v.1295 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- A-t-elle moins d'amants ? Est-elle moins prisée ? v.1300 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Arbaze, c'est pour toi que j'en ai tant souffert, v.1305 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Pour toi j'ai feint d'aimer, et mon coeur s'est offert : v.1306 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Que jamais mon ardeur n'est aisément connue, v.1315 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Aux Filles c'est Vertu de bien dissimuler : v.1317 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- C'est mon Asphalte, ô Dieux ! Il vient, dissimulons, v.1321 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Certes c'est un bonheur que je n'attendais pas. v.1326 (Acte 4, scène 6, ASPHALTE)
- Que votre esprit est rare ! Et sait adroitement v.1329 (Acte 4, scène 6, FLORINE)
- Est-ce ainsi qu'Amant cajole ce qu'il aime ? v.1335 (Acte 4, scène 6, FLORINE)
- Que Florine n'est pas ce qu'elle pensait être. v.1340 (Acte 4, scène 6, FLORINE)
- Il est vrai qu'il adore un autre Objet que vous, v.1341 (Acte 4, scène 6, ASPHALTE)
- Et votre esprit peut-être en est un peu jaloux : v.1342 (Acte 4, scène 6, ASPHALTE)
- Mon humeur est trop gaie, et pour ne rien celer, v.1357 (Acte 4, scène 6, FLORINE)
- Ah dure Tyrannie ! Ah rigoureux Destin ! v.1365 (Acte 4, scène 7, CLÉONICE)
- Si notre espoir est mort, ma flamme n'est pas morte : v.1392 (Acte 4, scène 7, AGLANTE)
- Mon âme c'est de là que part notre misère ; v.1408 (Acte 4, scène 7, AGLANTE)
- C'est lui qui nous traverse ; et les Dieux sont jaloux, v.1409 (Acte 4, scène 7, AGLANTE)
- Ma Vie est en vos mains, mais non pas mon Amour. v.1418 (Acte 4, scène 7, AGLANTE)
- Parmi tant de malheurs, quel bonheur est le nôtre, v.1423 (Acte 4, scène 7, AGLANTE)
- Il est seul nécessaire, et seul il est absent. v.1442 (Acte 5, scène 1, ARBAZE)
- Nous le rencontrerons, s'il est encor visible ; v.1452 (Acte 5, scène 1, UN DES BRAVES)
- Ma seule peine hélas ! Est assez violente : v.1459 (Acte 5, scène 2, NÉRICE)
- Ainsi donc l'un et l'autre est contraire à nos voeux ! v.1465 (Acte 5, scène 2, NÉRICE)
- De quelle passion ce Dieu n'est-il vainqueur. v.1474 (Acte 5, scène 2, N?RICE)
- C'est le juste respect, où ma crainte se fonde ; v.1479 (Acte 5, scène 2, N?RICE)
- Dieux ! Aglante, ai-je dit, quel est ce changement ? v.1493 (Acte 5, scène 3, ASPHALTE)
- L'Amour est-il auteur de ce dérèglement ? v.1494 (Acte 5, scène 3, ASPHALTE)
- Il est doux à mon coeur, mes sens en sont ravis. v.1498 (Acte 5, scène 3, ASPHALTE)
- Contre un si cher tourment, toute Prudence est vaine ; v.1499 (Acte 5, scène 3, ASPHALTE)
- D'une si prompte ardeur est la cause et l'objet ? v.1502 (Acte 5, scène 3, ASPHALTE)
- Mais chez lui mon conseil est passé pour outrage, v.1511 (Acte 5, scène 3, ASPHALTE)
- Est le plus en danger, et le plus combattu. v.1526 (Acte 5, scène 4, ORPHISE)
- Se faire des remparts, c'est lui donner des armes, v.1527 (Acte 5, scène 4, ORPHISE)
- C'est d'un oeil orgueilleux, qu'il estime les larmes, v.1528 (Acte 5, scène 4, ORPHISE)
- C'est d'un superbe Coeur qu'il aime les soupirs ; v.1529 (Acte 5, scène 4, ORPHISE)
- Cléonice à ses coups à la fin s'est rendue ; v.1531 (Acte 5, scène 4, ORPHISE)
- Est un humble sujet de l'Empire amoureux. v.1534 (Acte 5, scène 4, ORPHISE)
- Combien cet accident va tacher son estime ! v.1536 (Acte 5, scène 4, NÉRICE)
- Cet amour par les yeux s'est glissée en son âme, v.1539 (Acte 5, scène 4, ORPHISE)
- D'une course légère, elle s'est retirée, v.1551 (Acte 5, scène 4, ORPHISE)
- Et dans le fond du bois enfin s'est égarée. v.1552 (Acte 5, scène 4, ORPHISE)
- C'est le meilleur remède, allons-nous-en au Temple, v.1556 (Acte 5, scène 4, ARBAZE)
- Quelle est cette Beauté ? Que vois-je ? Ô Ciel ! Ô Dieux ! v.1561 (Acte 5, scène 5, AGLANTE)
- Tel est son front de Lys, tels sont ses beaux cheveux, v.1565 (Acte 5, scène 5, AGLANTE)
- C'est ce rare abrégé des grâces de Nature ; v.1567 (Acte 5, scène 5, AGLANTE)
- Mais quel sont ses habits ? Quelle est cette aventure ? v.1568 (Acte 5, scène 5, AGLANTE)
- Beaux charmes de mes yeux, quel est ce changement ? v.1569 (Acte 5, scène 5, AGLANTE)
- Au bruit que je faisais, ma Femme est accourue ; v.1603 (Acte 5, scène 5, JANOT)
- Destiné pour ma Fille, en la proche journée, v.1619 (Acte 5, scène 5, JANOT)
- Que c'est là le sujet de votre désespoir. v.1626 (Acte 5, scène 5, LE GARDEUR DES LIONS)
- Plus il tait sa douleur, et moins sa peine est dure. v.1628 (Acte 5, scène 5, AGLANTE)
- Mais un secret mystère est caché là-dessous. v.1630 (Acte 5, scène 5, LE GARDEUR DES LIONS)
- S'il ne t'est ennuyeux, apprends-moi cette Histoire. v.1635 (Acte 5, scène 5, CLÉONICE)
- Certes, elle est étrange, et plus qu'on ne peut croire. v.1636 (Acte 5, scène 5, LE GARDEUR DES LIONS)
- J'ai vu qu'au milieu d'eux il s'est précipité. v.1642 (Acte 5, scène 5, LE GARDEUR DES LIONS)
- Mais cet étonnement s'est vu bientôt suivi, v.1645 (Acte 5, scène 5, LE GARDEUR DES LIONS)
- Il est plus Lion qu'eux, eux plus Hommes que lui. v.1654 (Acte 5, scène 5, LE GARDEUR DES LIONS)
- Il est sorti posé, la vue et l'âme saine ; v.1663 (Acte 5, scène 5, LE GARDEUR DES LIONS)
- À bien considérer quelle est votre Fortune, v.1675 (Acte 5, scène 5, LE GARDEUR DES LIONS)
- Je crois non seulement qu'elle vous est commune, v.1676 (Acte 5, scène 5, LE GARDEUR DES LIONS)
- Mais que c'est de vous seuls que naît votre tourment, v.1677 (Acte 5, scène 5, LE GARDEUR DES LIONS)
- Tel est mon sentiment ; v.1679 (Acte 5, scène 5, LE GARDEUR DES LIONS)
- Et c'est ce que je pense, v.1679 (Acte 5, scène 5, JANOT)
- Si pour nous ce secret n'est de trop d'importance, v.1680 (Acte 5, scène 5, JANOT)
- Et c'est me faire tort, que de ne le pas croire. v.1688 (Acte 5, scène 5, CLÉONICE)
- Reconnait maintenant, si ma croyance est vaine ; v.1699 (Acte 5, scène 6, ORPHISE)
- C'est d'eux qu'on nous parlait, n'en soyons plus en peine. v.1700 (Acte 5, scène 6, ORPHISE)
- Quel bruit en un moment s'est ici répandu ? v.1701 (Acte 5, scène 6, ASPHALTE)
- Quel est cet accident ? L'avez-vous entendu ? v.1702 (Acte 5, scène 6, ASPHALTE)
- Une jeune Beauté, qui s'est désespérée, v.1703 (Acte 5, scène 6, ASPHALTE)
- Il ne m'est plus resté qu'une ombre de mémoire, v.1711 (Acte 5, scène 6, AGLANTE)
- En ces deux actions leur justice est pareille, v.1735 (Acte 5, scène 6, CLÉONICE)
- N'est qu'un effet d'amour, qui fait plaindre nos maux v.1737 (Acte 5, scène 6, CL?ONICE)
- Dieux ! Encor à présent mon âme est égarée, v.1743 (Acte 5, scène 6, AGLANTE)
- Puisqu'étant aussi pur, qu'étaient ceux des Vestales, v.1751 (Acte 5, scène 6, AGLANTE)
- Est, pour ne durer pas, trop estimé des Dieux. v.1754 (Acte 5, scène 6, AGLANTE)
- Au reste si le feu, qu'on nomme Élémentaire, v.1755 (Acte 5, scène 6, AGLANTE)
- Puisque son coeur est plein d'une flamme si pure, v.1759 (Acte 5, scène 6, AGLANTE)
- Ne la fît immortelle, elle est digne de l'être. v.1764 (Acte 5, scène 6, AGLANTE)
- Ne les peut émouvoir, l'un et l'autre est Barbare : v.1776 (Acte 5, scène 6, ORPHISE)
- Ces violents transports, dont votre âme est pressée, v.1779 (Acte 5, scène 6, ASPHALTE)
- Mais outre vos malheurs, un qui m'est survenu, v.1781 (Acte 5, scène 6, ASPHALTE)
- Une glace en mon corps s'est partout étendue, v.1787 (Acte 5, scène 6, ASPHALTE)
- Mon sang s'est retiré, ma couleur s'est perdue, v.1788 (Acte 5, scène 6, ASPHALTE)
- Ton mérite est extrême, et ton choix légitime. v.1799 (Acte 5, scène 6, AGLANTE)
- Mes devoirs prouveront à quel point je l'estime : v.1800 (Acte 5, scène 6, ASPHALTE)
- Mais il est déjà tard, allons le secourir. v.1801 (Acte 5, scène 6, ASPHALTE)
- Elle est grande, elle est blonde, v.1809 (Acte 6, scène 1, ASPHALTE)
- Belle, et modeste, autant qu'autre qui soit au monde, v.1810 (Acte 6, scène 1, ASPHALTE)
- Admirez l'accident, qui nous est survenu, v.1815 (Acte 6, scène 2, NÉRICE)
- Je jurerais qu'Aglante est seulement épris, v.1824 (Acte 6, scène 2, ARBAZE)
- Et nous verrons bientôt, si notre attente est vaine. v.1829 (Acte 6, scène 2, NÉRICE)
- Ô que si le Destin, à nos desseins propice, v.1833 (Acte 6, scène 2, NÉRICE)
- Ma Fille, qu'est-ceci ? Quelle aventure étrange, v.1849 (Acte 6, scène 3, NÉRICE)
- Que ce choix est mal fait, puisqu'il est fait sans vous ! v.1860 (Acte 6, scène 3, CLÉONICE)
- J'atteste le Soleil, qui malgré moi m'éclaire v.1865 (Acte 6, scène 3, CL?ONICE)
- Que c'est avec regret, que j'ose vous déplaire v.1866 (Acte 6, scène 3, CL?ONICE)
- C'est du côté d'Amour qu'à la fin je me range, v.1869 (Acte 6, scène 3, CL?ONICE)
- Est l'Époux que le Ciel par mon choix vous destine. v.1874 (Acte 6, scène 3, NÉRICE)
- Dites si mon Philène est mien par votre choix, v.1880 (Acte 6, scène 3, CLÉONICE)
- Ma fille il est à vous. v.1882 (Acte 6, scène 3, NÉRICE)
- Et si sous un feint nom Aglante est mon Amant, v.1884 (Acte 6, scène 3, CLÉONICE)
- Dites quel est le mot, qui nos voeux autorise, v.1885 (Acte 6, scène 3, CL?ONICE)
- Mais sans ce mot, ma mère, il ne m'est pas possible, v.1893 (Acte 6, scène 3, CLÉONICE)
- Du secret de nos coeurs c'est la marque infaillible, v.1894 (Acte 6, scène 3, CL?ONICE)
- C'est aimer, et mourir, contentez son envie. v.1898 (Acte 6, scène 3, ASPHALTE)
- Je ne les tairai plus, c'est aimer, et mourir. v.1900 (Acte 6, scène 3, ARBAZE)
- Que Philène est Aglante. v.1904 (Acte 6, scène 3, NÉRICE)
- Puisqu'un meilleur destin t'oblige de le suivre, v.1905 (Acte 6, scène 3, NÉRICE)
- Mégate est Cléonice, et ce nom qu'elle a pris, v.1943 (Acte 6, scène 4, MELINDE)
- Mégate est un Château d'une maison illustre, v.1945 (Acte 6, scène 4, MELINDE)
- Non, non, n'en doute plus, Cléonice est Mégate. v.1954 (Acte 6, scène 4, ARBAZE)
- Philène est donc Aglante, et le sera toujours. v.1955 (Acte 6, scène 4, AGLANTE)
- Approche, et tu sauras qu'elle ne s'est pas pâmée, v.1957 (Acte 6, scène 4, ARBAZE)
- Puisque l'auteur d'un mal, tout seul est punissable, v.1965 (Acte 6, scène 4, AGLANTE)
- Pourquoi le recevant, t'estimes-tu coupable ? v.1966 (Acte 6, scène 4, AGLANTE)
- Est-ce toi, mon Aglante, hélas ! Il faut mourir. v.1987 (Acte 6, scène 4, CLÉONICE)
- Celui qui n'est devenu nôtre, v.2003 (Acte 6, scène 4, CLÉONICE)
- Puisqu'il est certain qu'en m'aimant, v.2005 (Acte 6, scène 4, CL?ONICE)
- Celui dont mon âme est ravie, v.2011 (Acte 6, scène 4, CLÉONICE)
- Puisque que c'est ta méconnaissance, v.2017 (Acte 6, scène 4, AGLANTE)
- Nous suivons nos Destins, et l'humaine prudence v.2047 (Acte 6, scène 4, AGLANTE)
- C'est en vous après elle, Arbaze, que j'espère. v.2071 (Acte 6, scène 4, ASPHALTE)
- Car on m'a toujours dit, que c'est un grand passage ; v.2076 (Acte 6, scène 4, FLORINE)
- S'il ne tient qu'à ma voix, elle vous est donnée ; v.2087 (Acte 6, scène 4, ARBAZE)
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L'AVEUGLE DE SMYRNE (1638)
- Ses farouches regards, son geste, et sa couleur, v.9 (Acte 1, scène 1, TERFILE)
- J'ai deux forts ennemis ; mon mal est sans remède. v.16 (Acte 1, scène 1, PHILARQUE)
- Hé bien, est-ce là tout ? v.17 (Acte 1, scène 1, TERFILE)
- Ce sont deux passions, dont la moindre est capable v.27 (Acte 1, scène 1, TERFILE)
- Dieux ! Cette lâcheté n'est-elle pas extrême ? v.51 (Acte 1, scène 1, PHILARQUE)
- Ce qu'il veut, n'est pas juste. v.53 (Acte 1, scène 1, TERFILE)
- Mais je crois, qui plus est, que mon père s'abuse, v.71 (Acte 1, scène 1, PHILARQUE)
- C'est, c'est peut-être à faux que Philiste on accuse. v.72 (Acte 1, scène 1, PHILARQUE)
- L'effort de votre bras ne m'est plus nécessaire, v.87 (Acte 1, scène 2, ATLANTE)
- Mais s'il est Innocent ? v.91 (Acte 1, scène 2, PHILARQUE)
- L'une, c'est de cacher, malgré mon désespoir, v.101 (Acte 1, scène 2, PHILARQUE)
- Et l'autre est de donner un peu d'air à la flamme, v.103 (Acte 1, scène 2, PHILARQUE)
- Il est jusqu'en son coeur volé quelque étincelle. v.116 (Acte 1, scène 2, PHILARQUE)
- Elle sait bien aussi quelle est ma passion ; v.117 (Acte 1, scène 2, PHILARQUE)
- Au Temple de Diane elle l'a destinée ; v.124 (Acte 1, scène 2, PHILARQUE)
- Courons donc au Logis ; et s'il nous est possible v.131 (Acte 1, scène 2, PHILARQUE)
- C'est assez, j'ois Philiste sans doute. v.140 (Acte 1, scène 2, TERFILE)
- Est, comme son esprit, plein de confusion. v.202 (Acte 1, scène 3, TERFILE)
- Il est mort le méchant, et l'a bien mérité. v.218 (Acte 1, scène 3, PHILARQUE)
- Qui donc est mort ? v.219 (Acte 1, scène 3, ARISTÉE)
- C'est moi, j'ai terminé son sort. v.221 (Acte 1, scène 3, PHILARQUE)
- Ha ! C'est donc toi méchant qui mérites la mort. v.222 (Acte 1, scène 3, ARISTÉE)
- Où le son de la voix est soudain étouffé, v.230 (Acte 1, scène 3, PHILARQUE)
- Et la peur, et le mal, dont elle est affligée, v.231 (Acte 1, scène 3, PHILARQUE)
- Elle est morte à la fin, et sa mort est tragique. v.236 (Acte 1, scène 3, PHILARQUE)
- Qui donc est morte ainsi ? v.237 (Acte 1, scène 3, PHILISTE)
- Elle était innocente, et ma faute est extrême, v.241 (Acte 1, scène 3, PHILISTE)
- Le garder, ou mourir, est toute mon envie, v.266 (Acte 1, scène 5, ÉLIANE)
- Il est vrai. v.273 (Acte 1, scène 5, PAULINE)
- Que sans vous elle s'est échappée, v.273 (Acte 1, scène 5, ATLANTE)
- Hélas ! Le seul Philiste en est le ravisseur ; v.280 (Acte 1, scène 5, ATLANTE)
- Et par ce coup funeste, en prive ma Famille. v.281 (Acte 1, scène 5, ATLANTE)
- Je crois qu'il est chez lui. v.292 (Acte 1, scène 5, ÉLIANE)
- Philiste, nous savons tout ce qui s'est passé ; v.295 (Acte 1, scène 5, ATLANTE)
- Son innocence donc vous est assez connue. v.297 (Acte 1, scène 5, PHILISTE)
- Que de feintise est jointe à sa méchanceté ! v.308 (Acte 1, scène 5, ATLANTE)
- Quels célestes flambeaux dissiperont mes nuits ? v.319 (Acte 1, scène 5, PHILARQUE)
- Elle était dans sa chambre, et n'en est point partie, v.325 (Acte 2, scène 1, ATLANTE)
- Si l'on croit mon Portier, elle n'est point sortie, v.326 (Acte 2, scène 1, ATLANTE)
- Hélas qu'il est aisé de sembler généreux, v.335 (Acte 2, scène 1, ATLANTE)
- Et d'être philosophe, alors qu'on est heureux ! v.336 (Acte 2, scène 1, ATLANTE)
- Ton coeur est endormi, laisse-le réveiller ; v.339 (Acte 2, scène 1, ATLANTE)
- Rien ne t'est impossible ; v.341 (Acte 2, scène 2, ATLANTE)
- J'admire ton esprit, dont la souplesse est rare. v.345 (Acte 2, scène 2, ATLANTE)
- La prison est fort sûre, et Silène est fidèle. v.354 (Acte 2, scène 2, SILENE)
- Mais qu'est-ce que je vois ? v.355 (Acte 2, scène 2, ATLANTE)
- Mais comme est-il sans fers, puisque j'en porte encore ? v.362 (Acte 2, scène 3, ARISTÉE)
- Je vois bien qu'aujourd'hui notre sort ne l'est pas, v.367 (Acte 2, scène 3, ARIST?E)
- Que mon coeur est ravi dans sa peine amoureuse, v.369 (Acte 2, scène 3, ARIST?E)
- Non, par les sentiments dont ce coeur est charmé, v.371 (Acte 2, scène 3, ARIST?E)
- Je m'estimerai libre au milieu de mes fers. v.376 (Acte 2, scène 3, ARIST?E)
- Ha ! Que ne suis-je mort, voyant qu'elle est capable v.385 (Acte 2, scène 3, PHILARQUE)
- Il n'est point de raison qui la puisse excuser, v.387 (Acte 2, scène 3, PHILARQUE)
- Et n'en est point aussi qui me puisse apaiser. v.388 (Acte 2, scène 3, PHILARQUE)
- Je ne vous entends point, comment ! Est-ce une femme ? v.401 (Acte 2, scène 3, ARISTÉE)
- Et ce qui le déplaît, c'est un autre que moi. v.404 (Acte 2, scène 3, PHILARQUE)
- Je consacre aux Autels le reste de mes jours. v.430 (Acte 2, scène 3, ARISTÉE)
- Dans ces obscurités, je reste sans lumière. v.431 (Acte 2, scène 3, ARIST?E)
- Est fort bien contrefaite, ô l'étrange imposture ! v.442 (Acte 2, scène 3, PHILARQUE)
- Est-ce donc là le fruit de ma persévérance ? v.453 (Acte 2, scène 3, ARISTÉE)
- Ingrat, est le prix des soins et des travaux, v.455 (Acte 2, scène 3, ARIST?E)
- Il n'est rien que pour toi mon coeur n'ait entrepris, v.459 (Acte 2, scène 3, ARIST?E)
- Que l'homme est seul constant, et la femme volage ; v.470 (Acte 2, scène 3, ARIST?E)
- N'est-ce pas une place où chacun se promène ? v.502 (Acte 2, scène 3, ARISTÉE)
- Donc ma ruine, Ingrat, t'est glorieuse et chère ? v.514 (Acte 2, scène 3, ARIST?E)
- S'il est vrai qu'en effet ton âme en soit ravie, v.517 (Acte 2, scène 3, ARIST?E)
- C'est plutôt expier le premier déjà fait. v.536 (Acte 2, scène 3, ARISTÉE)
- Ah ! Pour la retenir notre assistance est vaine. v.542 (Acte 2, scène 3, ÉLIANE)
- Et qui plus est, ton coeur l'accompagne, et la suit. v.544 (Acte 2, scène 3, ATLANTE)
- Il est vrai, je l'avoue. v.545 (Acte 2, scène 3, PHILARQUE)
- Faites qu'il souffre seul, puisqu'il est seul coupable ; v.554 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- Puisque ce coeur coupable, est pourtant innocent. v.556 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- Si j'ai pris un dessein, qui n'est pas légitime, v.557 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- Pour tromper un rival, l'artifice est permis ; v.559 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- Là par des maux de flamme, elle est sollicitée, v.590 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- Et Philiste est heureux, sous le nom de Philarque. v.598 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- On m'a fait prisonnier, comme elle est prisonnière. v.602 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- Je connais clairement, qui c'est qui m'a trahi ; v.603 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- C'est Cléarque, un des miens, que j'ai toujours haï ; v.604 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- Ce bruit s'est divulgué, l'on a cru ce causeur ; v.611 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- De t'accuser à tort, ma joie est incroyable. v.622 (Acte 2, scène 4, ATLANTE)
- Car aimer sagement, c'est n'aimer point du tout. v.632 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- Mais Dieux ! Qu'il est facile à l'âme bien traitée, v.634 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- Et lorsqu'on est heureux, qu'il fait bon être amant ! v.636 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- Dont le sort est cruel, comme le vôtre est doux, v.639 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- Mais c'est injustement que vous plaignez vos peines, v.642 (Acte 2, scène 4, PHILARQUE)
- Puisque c'est à vous seul qu'elles sont adressées. v.650 (Acte 2, scène 4, PHILISTE)
- Il ne m'a point menti, c'est là son écriture, v.659 (Acte 2, scène 4, ATLANTE)
- Sa colère est trop juste, ah cruelle aventure ! v.660 (Acte 2, scène 4, ATLANTE)
- Pardonne à son rival, quand il en est Vainqueur. v.662 (Acte 2, scène 4, ATLANTE)
- Prouve qu'elle est pour moi plus clair que le jour ; v.674 (Acte 2, scène 4, PHILARQUE)
- Terfile, quel malheur est comparable au nôtre, v.677 (Acte 3, scène 1, ATLANTE)
- Votre courroux contre elle est-il bien légitime ? v.689 (Acte 3, scène 1, TERFILE)
- Il est vrai ; mais de quoi ? v.712 (Acte 3, scène 2, ATLANTE)
- Veux-tu qu'une beauté, qui s'est déshonorée, v.718 (Acte 3, scène 2, ATLANTE)
- C'est de nous seulement que lui vient cette tache ; v.722 (Acte 3, scène 2, PHILARQUE)
- Il est vrai, ce grand coeur, que vous avez blâmé, v.723 (Acte 3, scène 2, PHILARQUE)
- S'est fait tort en un point, c'est de m'avoir aimé. v.724 (Acte 3, scène 2, PHILARQUE)
- C'est en un autre objet qu'elle t'aimait, l'Ingrate, v.725 (Acte 3, scène 2, ATLANTE)
- Je sais qu'elle est muette, et je veux toutefois, v.739 (Acte 3, scène 2, ATLANTE)
- Il est désespéré. v.757 (Acte 3, scène 2, TERFILE)
- Elle est au désespoir. v.760 (Acte 3, scène 3, OLINTHE)
- Après tant de serments cet ingrat est capable v.769 (Acte 3, scène 3, OLINTHE)
- En ce destin constante, v.777 (Acte 3, scène 3, OLINTHE)
- Et qu'elle est innocente, ont tous fait leur effort, v.780 (Acte 3, scène 3, OLINTHE)
- C'est, ou pour exercer une juste vengeance v.786 (Acte 3, scène 3, OLINTHE)
- Sur son ingrat amant, s'il est vrai que pour prix, v.787 (Acte 3, scène 3, OLINTHE)
- Je vois qu'amour toujours est maître de ses sens, v.800 (Acte 3, scène 3, ATLANTE)
- Ah ! Mon père, est-ce vous ? Que vos rigueurs m'étonnent ! v.809 (Acte 3, scène 4, PHILARQUE)
- Oui si Diane l'est : v.816 (Acte 3, scène 4, PHILARQUE)
- Est le but malheureux, où tendent ses désirs. v.824 (Acte 3, scène 4, PHILARQUE)
- S'il reste dans votre âme un rayon d'amitié, v.831 (Acte 3, scène 4, PHILARQUE)
- Ah ! C'est d'un faux espoir que l'on flatte mon coeur, v.848 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Aristée, Aristée, est-ce vous que je vois ? v.855 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Et ne me répond point ; c'est elle ce me semble, v.857 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Non, c'est assurément sa soeur, qui lui ressemble, v.858 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Il ne la connaît point, la fourbe est bien conduite, v.861 (Acte 3, scène 5, ATLANTE)
- Est-ce vous Aristée ? Elle ne répond point, v.868 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Ce n'est point Aristée ; elle serait moins dure v.873 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Et c'est aussi le seul qui peut me faire vivre. v.885 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Quand une passion est grande, elle est muette. v.901 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Peut-elle être muette ? Ici ma plainte est vaine, v.906 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Et leur désobéir en ce point, c'est leur plaire, v.910 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- C'est fait, votre Aristée. v.916 (Acte 3, scène 5, OLINTHE)
- Et c'est à vos froideurs, dont j'ai connu l'excès, v.919 (Acte 3, scène 5, OLINTHE)
- De consacrer aux Dieux le reste de sa vie. v.922 (Acte 3, scène 5, OLINTHE)
- D'assez d'autres ennuis mon âme est agitée. v.925 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- C'est son portrait vivant. v.937 (Acte 3, scène 5, OLINTHE)
- Je l'estime autant qu'elle. v.937 (Acte 3, scène 5, ATLANTE)
- S'est-elle pas toujours contre moi mutinée ? v.954 (Acte 3, scène 5, ATLANTE)
- Ton reproche est injuste, et touche peu mon coeur, v.955 (Acte 3, scène 5, ATLANTE)
- D'un crime, dont au moins ta rigueur est complice. v.998 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Et c'est ce qui me trouble, et rengrège ma peine : v.1001 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Ma créance pourtant est encore incertaine. v.1002 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- S'il est vrai qu'elle souffre une peine aussi dure, v.1009 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Sa pitié m'est funeste, autant que sa rigueur ; v.1012 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Le sort en est jeté, mon mal a pris son cours : v.1016 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Je ne quitterai point ce funeste séjour, v.1023 (Acte 3, scène 5, PHILARQUE)
- Et qu'il est méprisé mes utiles conseils, v.1043 (Acte 4, scène 1, TERFILE)
- Amour est un tyran, dont l'injuste pouvoir, v.1047 (Acte 4, scène 1, TERFILE)
- C'est inutilement que Philarque l'adore ; v.1054 (Acte 4, scène 1, TERFILE)
- Puisqu'elle s'est vouée à Diane aujourd'hui, v.1055 (Acte 4, scène 1, TERFILE)
- J'ai touchant son Destin l'Oracle consulté, v.1067 (Acte 4, scène 1, ATLANTE)
- Ton fils t'obéira, c'est le vouloir des Dieux, v.1069 (Acte 4, scène 1, ORACLE)
- Cet Oracle est obscur. v.1077 (Acte 4, scène 1, TERFILE)
- Il l'est extrêmement. v.1077 (Acte 4, scène 1, ATLANTE)
- Atlante, sans mentir, son mérite est extrême. v.1083 (Acte 4, scène 1, TERFILE)
- Je n'en doutai jamais, Terfile, c'est lui-même, v.1084 (Acte 4, scène 1, ATLANTE)
- D'expliquer leur pensée, et l'homme est indiscret, v.1093 (Acte 4, scène 1, ATLANTE)
- N'ira pas plus avant, le temps est ton remède ; v.1096 (Acte 4, scène 1, ATLANTE)
- J'ai des secrets cachés, rien ne m'est interdit, v.1110 (Acte 4, scène 1, ATLANTE)
- Ce secret est fort beau, mais dangereux aussi. v.1129 (Acte 4, scène 1, TERFILE)
- Il m'est allé quérir une certaine poudre, v.1132 (Acte 4, scène 1, ATLANTE)
- À l'Ingrat maintenant cette lettre est portée ; v.1139 (Acte 4, scène 1, ATLANTE)
- Quoi que le mal fût grand, votre remède est pire ; v.1143 (Acte 4, scène 1, TERFILE)
- C'est être trop cruel. v.1153 (Acte 4, scène 1, TERFILE)
- Quel surcroît de malheur, que le Destin m'envoie ! v.1175 (Acte 4, scène 2, ATLANTE)
- Si Philarque est aveugle, il ne vous verra pas. v.1182 (Acte 4, scène 2, TERFILE)
- Cruelles destinées. v.1183 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Belles fleurs, dont l'odeur est si douce à mes sens, v.1190 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- L'un est mon précipice, et l'autre mon adresse ; v.1199 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Ainsi de mon destin le caprice voulut, v.1201 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Grands Dieux, si jusqu'à vous ma plainte est parvenue, v.1204 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Mais peut-être je rêve, Alcinon, il est nuit. v.1206 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- S'il est nuit, c'en est une, où le Soleil éclaire, v.1207 (Acte 4, scène 3, ALCINON)
- Et je le sens plus chaud, qu'il ne l'est d'ordinaire : v.1208 (Acte 4, scène 3, ALCINON)
- Des yeux de cet enfant la lumière est subtile. v.1212 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- De leurs faibles rayons la lumière est éteinte, v.1232 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Quand elle est mal fondée, et n'a point d'apparence. v.1264 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- En ce funeste état, d'amour plus que de vie : v.1268 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- N'est rien que son Amour, malade, et langoureux. v.1270 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Et qu'adorant Philiste, elle eût manifesté, v.1273 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Et ce n'est qu'au travers des funestes ombrages, v.1288 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Et comme il est bon juge, il l'a fait justement. v.1298 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Dieux, qu'il est éloquent ! La clarté de sa vue, v.1299 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- Que son âme est émue ! v.1300 (Acte 4, scène 3, TERFILE)
- Il faut donc que d'Amour la puissance céleste, v.1307 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- M'ait aujourd'hui réduit en un état funeste ; v.1308 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Est-ce pour s'étonner ? Beaucoup vivent sans yeux, v.1314 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- C'est l'effet de ses voeux, m'en voudrais-je défendre ? v.1324 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Et partant c'est chose certaine, v.1351 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Est inégale, ainsi que le sort de mes jours. v.1356 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Ainsi que mon amour, ma plainte est sans mesure ; v.1358 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Ce châtiment m'est dû, je l'ai bien mérité. v.1360 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Ce n'est donc plus qu'à moi, qu'il faut que je l'impute, v.1362 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Je suis le seul auteur ; mon père est innocent : v.1364 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Dieux, comblez-moi d'ennuis, ma perte est arrêtée v.1365 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Ah ! Ma fille, c'est trop, l'excès de sa bonté, v.1367 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- A fléchi ma rigueur ; mon coeur est surmonté, v.1368 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- Sans doute il est tombé dans ce proche canal, v.1375 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Qui nous est à tous deux également fatal : v.1376 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- De ton esprit troublé sa mort est une marque : v.1378 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Ne crains rien, Philarque, c'est Atlante. v.1390 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- Ton astre est adouci, son aspect va changer ; v.1392 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- Cet élément à mon bien est fatal, v.1403 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Crois que cela n'est point, ou qu'il en est sorti ; v.1408 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- C'est donc toi, mon mignon ? v.1412 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- Ma guérison n'est pas l'ouvrage des mortels ; v.1431 (Acte 4, scène 3, PHILARQUE)
- De ce prétexte faux le traître s'est couvert, v.1443 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- Ce sorcier, dont le crime est digne de la foudre, v.1445 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- Est l'effet malheureux d'un charme seulement, v.1448 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- Mais l'Oracle en est cause, ah ! Ce penser me tue, v.1453 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- Après t'avoir réduit en cet état funeste, v.1461 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- Te plaire désormais, est le soin qui me reste : v.1462 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- N'est plus qu'une Victime à ta gloire apprêtée v.1465 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- Je la voix vertueuse, et c'est cette beauté, v.1487 (Acte 4, scène 3, ATLANTE)
- Ce n'est plus dans un Temple où l'on voit ta Déesse. v.1494 (Acte 5, scène 1, ATLANTE)
- Il n'est point de tourment que nous n'ayons soufferts v.1496 (Acte 5, scène 1, ATLANTE)
- C'est pour toi que je vis, c'est en toi que j'espère. v.1505 (Acte 5, scène 1, PHILARQUE)
- Est-elle ici, Terfile ? v.1511 (Acte 5, scène 1, PHILARQUE)
- Ta maîtresse est ici, puisqu'elle est dans ton coeur. v.1512 (Acte 5, scène 1, TERFILE)
- Il est vrai, ses beautés sont peintes dans mon âme ; v.1513 (Acte 5, scène 1, PHILARQUE)
- Et c'est de mon bonheur le véritable Oracle : v.1542 (Acte 5, scène 1, PHILARQUE)
- À la grande Prêtresse est soudain rapportée, v.1546 (Acte 5, scène 1, ATLANTE)
- La Vérité la presse, et sa bouche est contrainte, v.1549 (Acte 5, scène 1, ATLANTE)
- La douleur qu'elle sent, est celle qui me touche. v.1554 (Acte 5, scène 1, PHILARQUE)
- C'est un effet d'amour, dont le pouvoir m'étonne. v.1581 (Acte 5, scène 2, ATLANTE)
- Philarque, en ton malheur que je t'estime heureux ! v.1583 (Acte 5, scène 2, PHILISTE)
- Aristée est à toi, la voici qui s'avance. v.1585 (Acte 5, scène 2, PHILISTE)
- Hélas ! Si je le fais, c'est contre ma pensée : v.1589 (Acte 5, scène 2, PHILARQUE)
- Pardon divin objet, dont mon âme est blessée ; v.1590 (Acte 5, scène 2, PHILARQUE)
- Et puisque dans mon sein votre ardeur est enclose, v.1601 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Est-ce vous ? v.1603 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Vous lisiez sur son front, qu'elle en est incapable, v.1617 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Vous demander pardon, n'est-ce point trop oser ? v.1627 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Je te croyais trop parfait, pour t'estimer capable, v.1629 (Acte 5, scène 3, ARISTÉE)
- D'un mal dont mon destin a seul été coupable. v.1630 (Acte 5, scène 3, ARIST?E)
- Elle est grande en effet. v.1631 (Acte 5, scène 3, ATLANTE)
- Qu'ainsi que de mes yeux la lumière est éteinte, v.1637 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Que votre amour me touche, et qu'il m'est précieux ; v.1643 (Acte 5, scène 3, ARISTÉE)
- Ton sort, qui m'est fatal, t'a privé de la vue, v.1649 (Acte 5, scène 3, ARISTÉE)
- Hé bien n'es-tu pas tel ? Mon âme en est ravie, v.1657 (Acte 5, scène 3, ARISTÉE)
- Il me voit, tu le sais, c'est lui qui te prescrit v.1664 (Acte 5, scène 3, ARISTÉE)
- C'est trop, n'en dis pas tant, je me noie en mes larmes, v.1669 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Qu'ainsi nous braverons le Destin, et la Parque ; v.1674 (Acte 5, scène 3, ARISTÉE)
- Ils ne pourront manquer, si ce n'est à moi-même. v.1686 (Acte 5, scène 3, ARIST?E)
- La vive Passion, dont mon âme est atteinte : v.1698 (Acte 5, scène 3, ARIST?E)
- Quel secret mouvement est celui qui l'emporte ? v.1701 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Ce n'est pas que son feu soit plus grand que le mien, v.1707 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Mais c'est que mon ouvrage est moindre que le sien. v.1708 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- C'est assez, mes enfants, soupirer vos malheurs, v.1723 (Acte 5, scène 3, ATLANTE)
- Philarque est ton époux, Aristée est ta femme. v.1726 (Acte 5, scène 3, ATLANTE)
- Quel heur est comparable à cette jouissance ? v.1730 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Et captivez ce corps, dont l'esprit est à vous. v.1732 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Que l'auteur de mon être est celui de mon bien ; v.1756 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Mon âme en est ravie, et mes sens s'en étonnent, v.1761 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Que ce bonheur est grand, que le destin m'envoie ! v.1779 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Vous l'aimez plus que moi, c'est pour ce qu'elle est belle ; v.1791 (Acte 5, scène 3, ALCINON)
- J'en ai fait un pour toi, qu'il est temps que j'acquitte : v.1803 (Acte 5, scène 3, ARISTÉE)
- Ce dessein est trop prompt. v.1819 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Mais il est légitime ; v.1819 (Acte 5, scène 3, ÉLIANE)
- Mon coeur en est troublé. v.1821 (Acte 5, scène 3, PHILARQUE)
- Le mien en est ravi. v.1821 (Acte 5, scène 3, ÉLIANE)
- Ne me dérobez point la gloire qui m'est due, v.1823 (Acte 5, scène 3, ÉLIANE)
- Ce que l'on donne aux Dieux, est-ce chose perdue ? v.1824 (Acte 5, scène 3, ?LIANE)
- Terminez ce débat, et ne contestez plus. v.1826 (Acte 5, scène 3, PHILISTE)
- C'est à moi seulement, qu'il doit être permis, v.1829 (Acte 5, scène 3, PHILISTE)
Dans les 1895 textes du corpus, il y a 2 textes (soit une présence dans 0,11 % des textes) dans lesquels il y a 569 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 284,50 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Acte 6 | Total |
1 | LA COMÉDIE DES THUILERIES | 21 | 56 | 66 | 63 | 68 | 38 | 312 |
2 | L'AVEUGLE DE SMYRNE | 37 | 54 | 47 | 68 | 51 | 0 | 257 |
Total | 58 | 110 | 113 | 131 | 119 | 38 | 569 |